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11 juin 2012
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8H - Départ nostalgique du confort vécu. Nous retrouvons le GR40 après quelques balbutiements, heureusement dans la bonne direction. Descendons à travers la forêt sous le Ranc, pour atteindre Perthuis. La descente se fait en sous-bois, sur le chemin moultes cèpes, non comestibles hélas ! Vision insolite d’un chameau du Velay !!! Cheminement sur une piste jusqu’à La Blache où nous rencontrons un vieil autochtone qui se révèlera bien sympathique, bien qu’armé d’une faux… | |||||||||||||||||
Le site de Glavenas
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Tiens !!! V’là la pluie ! comme aurait dit Lapointe, de son prénom Bobby. Il faut encaper rapidement. Le balisage branquignol est la cause de quelques égarements et errances. Nous montons jusqu’à la Chapelle de Glavenas. La table d’orientation désoriente Arthur, qui s’extasie sur le chemin parcouru. A proximité passait "la galoche", train de la compagnie du Vivarais qui allait de Lavoûte-sur-Loire à Yssingeaux. Continuons à monter sur une route goudronnée qui devient piste : elle nous amène au pied du Suc d’Aymes. Descente dans une forêt superbe ; nous en sortons par une piste puis route goudronnée jusqu’à Saint-Julien-du-Pinet. Casse-croûtons sur un banc près de l’église. Café au bistrot du coin. En repassant vers l’église, apercevons un minet se léchant les babines de l’huile de nos sardines | |||||||||||||||||
Au dessus de Glavenas | |||||||||||||||||
Descente dans le vallon : il commence à pleuvoir : encapons. Il faut grimper alors jusqu’à Mézères dont les fondations de l’église sont construites sur des orgues basaltiques. Descente par un sentier minuscule pour rejoindre une piste à travers bois, pleine de surprise aquatiques et de glissades jusqu’à Blanhac. | |||||||||||||||||
Pierrier
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Le gîte est l’ancienne maison de la Béate du coin (qui existe toujours d’ailleurs, nous l’avons rencontrée). Le mari de la dame du gîte nous amène en voiture jusqu’au moulin à eau qu’il retape dans le cadre de l'association du moulin de Blanlhac. Nous passons deux heures avec eux et un de leurs amis qui nous fait fonctionner cette merveilleuse usine à eau complétée par des mécanismes géniaux et ludiques. Nous faisons du feu dans le poêle Godin, et improvisons un dîner avec quelques victuailles fournis par Mme Ramousse. Dodo 22H. Une bête sournoise émet un son régulier sous la porte d’entrée : le mystère restera entier, rejoignons nos toiles… Bonsoir…. | |||||||||||||||||
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